LA GAZETTE DE L’HÔTEL DROUOT

Rubrique : 
Des mystères de l’atelier au génie de l’artiste

Paris VI ième « LÉA RIVIÈRE » jusqu’au 2 avril, galerie Éric de Montbel. Par quelle alchimie l’art ouvre-t-il la porte entre le conscient et l’inconscient pour dévoiler un domaine mystérieux, tant pour l’artiste que pour le spectateur ? Pour Léa Rivière, ce qu’elle appelle « danser avec la vie » commence par traversée du miroir, dans la trace vibrante du tout premier coup de crayon. C’est par des images nées de l’association d’un esprit et d’un talent singulier, qu’elle nous entraîne dans la magie de son royaume imaginaire. Les chevaux y règnent, splendides étalons esquissés avec la finesse d’un Léonard de Vinci, accompagnés de figures féminines plus amoureuses que cavalières. La relation symbiotique et tendre du cheval et de la femme est à la source du prolifique travail de l’artiste. « Léa Rivière »